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Dans une cage, une fille nue se recroqueville dans un coin. De nombreux scientifique autour d’elle n’ont de cesse de prendre en note chacun des tics qui l’animent. Il parle à voix basse entre eux sans qu’elle ne puisse entendre ou comprendre ce qu’ils disent. Tout ces projecteur braqué sur elle ne laisse aucune place aux ombres et devrait chauffer son corps, pourtant au fond d’elle, elle a froids, très froids. Ces hommes ont déjà injecté des centaines de substances dans son corps, sous toutes les formes de tout le type. Ils n’en ont pourtant pas eut assez puisqu’ils continuent.
Quelques minutes passent et toujours aucun effet. Les hommes en blanc s’impatiente, rien n’indique que leurs expériences mènera à quoique ce soit aujourd’hui. Les multiples électrodes qui parcourent le corps de la petite fille ne détectent rien, pas le moindre changement de température. Pourtant, lorsqu’on vient la chercher, on se rend compte qu’elle tremble de froids et que son souffle est glacé. En la forçant à marcher, ils ont tout déclenché.
Tous les voyants s’affolent tous d’un coup. Le sujet numéro douze se mets à baver abondement, puis vomis sur le sol. Toutes ces personnes s’affolent à leurs tour et les gardiens qui tenait la gamine tente de s’échapper, mais les scientifique, à l’extérieur, on refermer la cage et ne comptèrent pas la rouvrir de si tôt. Ces nouveaux prisonniers n’avaient alors que des taser pour se défendre contre un éventuel excès de rage de l’adolescente.
Celles-ci c’est enfin relever, le regard rougeoyant. La sérénité de son visage donne froid dans le dos et ces gardes ne savent plus que crier comme des fillettes en tirants leurs décharges. La jeune fille fit un simple bon pour tous les esquiver et bondir sur sa première victime. Elle attrapa son visage d’une main pour le faire traverser le grillage de la cage. Le crâne du pauvre homme était réduit en bouillit comme le bras du tueur. Les bouts de fer que la grille troué avait laissé s’enfoncèrent dans a chair du bras faisaient ce dernier prisonnier. Agacer, la demoiselle s’énerva, se transformant en hybride pour accumuler plus de force pour arracher son bras à ces fils de fer.
Une voix rauque retentit soudain à travers la salle d’expériences. C’était un petit homme âgé vêtu de la même blouse blanche que ses comparses. La barbe longue, le crâne dégarni, c’était lui le chef de ce projet d’OGM.
Docteur Yamashita. Un grand généticien de son temps, précurseur en matière de bio-arme. On lui attribuait un siècle d’existence tant son savoir était grand. Ces vingt dernières années, il s’était consacré à la transformation d’être humain sans avoir à greffer systématiquement de la cybernétique qu’il répugnait au plus haut point. Il s’était également beaucoup impliqué émotionnellement envers ses sujets au point de les aimés comme ces enfants. Le dernier en date était le sujet numéro douze : Ayumu. Elle était unique car elle était la première à posséder les pouvoirs d’un fruit du démon et c’était la raison, selon lui, qu’elle était apte à subir tant d’expériences.
Il entra à son tour dans la cage avec le plus grand calme alors que sa protégée se débattait encore avec la rage d’une diablesse. Le docteur sortit une sarbacane de sa poche pour envoyer une fléchette anesthésiante sur Ayu. C’était là le dernier produit encore efficace. Puis il sortit de la cage ordonnant à ses subalternes de libéré la fille, faire un rapport de ses blessure avant de la guérir et enfin d’autopsier le corps du malheureux qui est mort. Il ressortit enfin de la salle de test sans ajouter le moindre mot.
En rejoignant son bureau, son cerveau tournait à plein régime pour analyser ce que ces yeux avait vus aujourd’hui. Sans même avoir lut les rapports qui était en train de se préparer, il imaginait déjà la suite des opérations …

Quelques mois plus tard, le vieil homme se rendit à nouveaux dans la chambre, ou plutôt la cellule ; de sa fille préféré, de bonne nouvelle sous le bras. Elle était en train de regarder silencieusement par la fenêtre, elle aimait admirer la mer et écouter le bruit de vague. L’homme voulut d’abords savoir comment elle allait avant d’aborder les choses sérieuses. Les récentes drogues n’avaient pas laissé de séquelles apparentes et son bras était parfaitement rétabli à présent. En regardant les cheveux blancs de la jeune fille, ou son regard qui prenait des teintes écarlate, il ne pouvait s’empêcher de se souvenir que toute les expériences n’avait pas si bien finit pour la jeune fille. Aujourd’hui elle n’était plus que l’ombre pâle de la gamine qu’elle fut, bien que son comportement actuel était plus apprécié des grands pontes de la marine.
Le grand jour était arrivé pour elle. Elle pouvait être libre à présent. Pour Ayumu, libre voulait simplement dire qu’elle pourrait parcourir les mers sur un bateau, mais elle resterait constamment sous l’ordre des soldats du gouvernement. Pour les scientifiques, il était inutile de continuer les expériences en laboratoire, ils devaient à présent constater de la force du sujet et de ses instincts en combats réel. Une sorte de test final grandeur nature pour savoir ce que toutes ses années de recherche allé donner sur le terrain. Les tests psychologiques montraient qu’elle ne se retournerait pas contre ses supérieurs qu’en cas de crise de rage, il suffirait d’utiliser ce calmant concocter par le vieux professeur Yamashita.
Il ne restait plus à la gamine qu’allait « s’amuser » sur les mers en restant gentil et obéissante !