OnePiece Yozoru Kairo
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 Hiruzen Nobunaga

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Hiruzen Nobunaga
Chasseur débutant
• I'm Hiruzen Nobunaga

Messages : 7
Date d'inscription : 02/09/2011

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MessageSujet: Hiruzen Nobunaga   Hiruzen Nobunaga EmptyVen 2 Sep - 15:31

I'am Nobunaga Hiruzen,
and this is my history...

AVANT TOUT ;
La présentation est une chose essentielle au role-play. Elle nous permettra premièrement d'évaluer votre niveau, et ainsi nous pourrons vous accepter ou vous refuser certaines capacités. C'est aussi une façon de mieux vous connaître, et surtout de mieux connaitre le type de personnage que vous comptez jouer. Veillez à ne pas trop parler de vos pouvoirs dans votre présentation, si celle-ci venait à être refusée, il serait dérangeant de devoir tout recommencer. Si vous hésitez, demandez l'avis d'un Administrateur. Vous pouvez nous montrer votre niveau RP à travers un de vos ancien récit et nous pourrons ainsi vous prédire votre validation ou non. Attention, la présentation s'aborde après avoir lu les règlements. En commençant cette fiche vous acceptez et approuvez notre charte.

Nom : Nobunaga
Prénom : Hiruzen
Age : 16 ans
Sexe : Masculin
Race : Dragon Céleste
Faction : Chasseur de prime
Métier : ...
POUVOIRS & CAPACITÉS ;
Deux sabres Ryou-Wazamono.
Nom : Kiba "Les Crocs"
Description: Epées jumelles, chacune équipée de deux crocs sur sa partie distale.


[5 ADJECTIFS CARACTÉRISANT LE MENTAL DE VOTRE PERSONNAGES]
Impartial, Droit, Aimable, Généreux, Fougeux


HISTORY ;

Chapter I


Loin du regard des hommes ordinaires, sur la terre sainte de Marijoa où seul quelques privilégiés résident, un jeune homme venait de fêter ses vingt ans. Comme chaque membre de sa famille avant lui, lors de son vingtième anniversaire, le jeune homme venait de gagner le droit d'avoir une esclave concubine.

Dragon Céleste, descendant d'une des plus illustres famille de noble, Saint Michel était tout excité à l'idée de se rendre en dehors de la terre sacrée afin de fouler la terre des insectes.

Il avait attendu ce jour depuis pas mal d'année et maintenant que le jour "j" était enfin arrivé, il n'arrivait pas à tenir en place. Sur son visage, l'excitation, l'impatience et la joie pouvait se lire à un tel point que cela pouvait être interprété comme un sentiment malsain.

Son père, Saint Daniel, patriarche de la famille, avait beaucoup de mal à retenir son fils. Depuis qu'il lui avait dit qu'à vingt ans il allait enfin quitter la maison royale afin de se rendre sur terre, son fils vouait un culte au monde des hommes. Enfin, il aimait les esclaves et dès son plus jeune âge il harcelait son père afin d'avoir lui aussi une ribambelle de créature à ses ordres.

D'ordinaire très strict et protecteur avec son fils, Saint Daniel accorda à son fils ce jour là le droit de se rendre seul sur l'archipel Sabaody afin de choisir lui-même ses esclaves. Bien sûr le jeune Michel serait accompagné d'une bonne trentaine d'homme de main de son père comme protection. Il n'était pas dit qu'un dragon céleste s'aventure dans cette grande favelas de Sabaody sans protection.

Tout avait été prévu longtemps à l'avance, Michel serait directement conduis dans la plus grande salle de vente d'esclave afin d'assister à sa première vente.

Chocopos directeur directeur de salle de vente d'esclave du Grove 1 avait fait venir des quatre coins du monde le meilleur choix possible de créature, d'hommes, mais aussi les plus belles femmes. Un seul objectif, réussir à vendre ses plus belles pièces au dragon céleste.

Après quelques minutes sur un navire aux couleurs de la famille affrète pour l'occasion, le jeune homme arriva sur l'archipel et se mit en route pour le Grove où devait se dérouler la vente.

Vêtu de son scaphandre de noble, pour ne pas respirer le même air que les parasites qui pullulaient sur l'île, Saint Michel marchait d'un pas de conquérant.

Son père, Saint Daniel avait mis à sa disposition, l'un de ses esclaves personnel, un demi-géant de six mètres afin de servir de monture, mais il refusa le cadeau de son père. Il marcherait à l'aller et reviendrai à la maison avec sa propre monture.

Ne voyant pas d'objection à cela, St Daniel accepta.

La population de l'archipel s'agenouilla sans broncher devant le convoi du dragon céleste. Tous les habitants connaissaient ce qui pouvait se passer si jamais un dragon céleste se sentait offenser, voilà pourquoi ils se soumettaient. St Michel aimait par-dessus tout dévaloriser les hommes, alors il s'approcha d'une personne dans la foule et sans aucune raison, il fit de lui son premier esclave.

L'homme se leva et commença à crier, à supplier le noble de l'épargner, mais en vain. La foule restait immobile, malgré l'acte inhumain qui se produisait sous leur nez.

Le nouvel esclave qui préférait mourir que finir sa vie en tant que chien tenta de retirer le collier à l'aide de sa propre force, mais il n'était pas assez puissant pour cela et comme punition, il reçut du plomb en plein coeur. Un coup à bout portant. Ne laissant aucune chance de survie possible au jeune homme qui tomba sur le sol.

Après cet épisode triste et cruel, le groupe continua son avancé à travers les Grove.

Les témoins du crime ressentaient au plus profond d'eux de la colère envers les dragons célestes qui avaient tous les droits, mais devant leur protecteur, ils ne pouvaient absolument rien faire. Sacrifier une vie pour la survie de tous était le meilleur choix.

Au bout d'une longue marche, ils arrivèrent enfin à destination.

Le monde des hommes était vraiment comme son père lui avait dit, contaminé par la vermine humaine. Un monde de renégat et d'ordure.

A l'entrer de la salle, Une dizaine de soldats filtraient les clients. D'une part les nobles, venu de l'ensemble de la première partie de Grandline et de l'autre côté, les gros clients, la plupart du temps d'importants marchands où financier ayant une grande fortune.

Pour l'occasion, les choses avaient été fait en grand. La venu d'un dragon céleste était pour le propriétaire un grand coup markéting. S'il réussissait sa journée, alors sa salle de vente pourrait devenir la plus importante de tout l'archipel.

Sans même lever le petit doigt, deux hommes invitèrent le groupe à entrer sans même passer le dispositif de contrôle. Des places de choix avaient été réservés pour St Michel. Il avait pour lui une rangée entière. Personne ne pouvait se poser près de sa personne et les deux rangs au-dessus et en dessous étaient vide afin de laisser une distance entre les autres et sa sainteté.

En tout plus de quatre cents personnes avaient fait le déplacement. Dans leur poche, des millions et des millions de Berry prêt à être dépensé, mais parmi toutes ces personnes, le seul objectif de Chocopos était de ventre le maximum d'esclave au dragon céleste, car il le savait, un jeune noble cherche forcément à avoir une dizaine, voir une vingtaine d'esclave personnel.

Après un discours assez barbant, la vente commença.

Le premier lot était un peintre. L'homme était décrit comme une valeur montante de l'art contemporain. Sa valeur était fixée à quatre millions de Berry. Très vite, la folie des acheteurs commença et l'homme fut vendu à plus de quinze millions à un noble. Le second un homme du nom Maza. Ancien voleur, il était responsable de la chute de plusieurs royaumes dans les mers bleues. Il était décrit comme une prise rare. L'homme parti à plus de vingt millions.

Le reste de la vente n'était pas très intéressant et St Michel s'endormi.

Quand la vente des femmes commença, le major d'homme réveilla son jeune maître.

La partie intéressante allait commencer. Plus d'une centaine de femmes allait être présenté, puis vendu aux acheteurs.

Chocopos connaissait la raison de la venu du jeune saint et avait fait en sorte de faire venir le maximum de belle créature dans sa salle de vente. Il y avait des femmes à en craquer. Des femmes couleurs ébènes, des jaunes, des blondes, des rousses, des brunes.

Des femmes à fortes poitrines, d'autre avec de petits saints. Certaines avec des fesses bombés, d'autre avec des fesses assez plates. Il y en avait pour tous les goûts.

Avant la vente, un défilé avait été organisé afin de montrer l'étendue de la marchandise. Un avant gout de ce qui allait se passer. Les femmes avaient été vêtu de manière assez sexy pour l'occasion. Il fallait que tous les hommes présents dans la salle ouvre leurs bourses afin de faire grimper leur prix.

St Micel avait jeté son dévolu sur une bonne dizaine de femmes. Elles étaient toutes ravissante. Elles avaient tout ce qu'il recherchait cher une femme esclave. Chocopos repéra l'excitation du saint et en profita afin de doper ses ventes, mais avec un portefeuille aussi important, St Michel pouvait se permettre toutes les folies.

Au total, le noble dépensa plus de deux cents millions dans l'achat de concubine. Alors qu'il allait quitter la salle afin de rentrer chez lui, un homme de main du propriétaire monta sur scène et parla discrètement à l'oreille de son patron.

Suite à l'information qu'il venait de recevoir, Chocopos, annonça un dernier lot. Il s'agissait d'une femme très active au sein d'un groupe de révolutionnaire qui avait réussi à couler un royaume de noble sur Grandline.

Ce genre de lot était d'une rareté extrême, car tous révolutionnaire capturé était soit tué, soit conduis directement dans la grande prison de la marine.

En tant que Dragon céleste, St Michel aurait pu ordonner l'arrestation de cette femme sans même donner un Berry en échange, mais quand il posa son regard sur elle, son coeur se mit à battre comme jamais.

Il venait de trouver, la femme la plus belle qu'un homme puisse rencontrer.

Chapter II


La mise à prix de la jeune femme débuta à cinquante millions de Berry. Une belle somme de départ, pour un lot tout aussi extraordinaire. Mais le prix du lot ne fut pas annoncé par le vendeur, mais directement par une personne dans la salle.

Il s'agissait d'un noble. L'homme avait la ferme intention de faire de cette femme un exemple pour toutes les personnes qui oseraient s'en prendre à son île. Une réaction normale pour des états en craint à la peur de l'armée de la révolution, mais visiblement il n'était pas le seul à convoiter cette beauté fatale.

Une, puis deux et pour finir trois autres acheteurs indiquèrent des prix bien plus intéressant que le premier. C'était de la folie, le prix grimpait à vive allure à un tel point que personne dans la salle ne savait à combien pouvait être vendu cette femme.

Immobile, les yeux fixer sur la jeune femme, St Michel, n'arrivait plus à bouger. Ses yeux d'habitude plein de perversité, montrait une expression rare. Deux coeurs remplaçaient ses globes oculaires. Dans sa combinaison, la température venait de monter d'un cran. Ses pieds en tremblaient presque.

Son major d'homme qui se trouvait près de lui, commençait à croire qu'il avait attrapé une maladie en venant sur l'archipel et lui demanda de bien vouloir rentrer au plus vite avant que son état ne s'aggrave, mais rien n'y fait, St Michel ne bougeait pas. Il n'entendait plus personne dans la salle. Il se voyait dans une grande pièce sombre avec pour seul colocataire, la jeune femme. Son âme soeur se trouvait à quelques mètres de lui.

Chocopos allait annoncer la vente de la jeune femme à un très riche marchand, quand la main du saint se leva et annonça en même temps par sa voix qu'il triplait son prix.

Le marchand avait misé deux cents millions de Berry, mais l'offre du dragon céleste était tel que personne ne voulait surenchérir. Le major d'homme lui-même tomba à la renverse quand il entendit cela. C'était la première vente aux enchères de son maître et il venait d'acheter une jeune femme à plus d'un demi million. Il en avait la certitude, une fois rentré, St Daniel le ferait décapiter.

L'assemblée regarda le dragon bouche bée et sans tarder, Chocopos accorda la jeune femme au jeune Dragon pour le plus grand désarroi des nobles. Une fois le dernier lot vendu, le groupe de St Michel quitta la salle et se dirigea vers la sortie où il allait récupérer ses biens.

Dehors, le propriétaire arriva avec la marchandise du jeune homme et pour le remercier de sa participation très active, il lui fit cadeau d'un semi-géant qu'il n'avait pas réussi à vendre, car trop pleurnichard.

St Michel, n'avait rien contre les cadeaux et puis il avait besoin d'une monture. C'est donc à dos de semi-géant qu'il se mit en route pour le bateau qui l'attendait. Sans même payer de monture, il venait d'en gagner une, autant dire qu'il venait de gagner sa journée.

En terre sainte, ce que le major d'homme redoutait le plus arriva. St Daniel, affichait une légère crispation au niveau de son visage quand son fils lui indiqua le prix de sa dernière trouvaille.

En tant que Saint et patriarche de la famille, St Daniel ne se rabaissa pas à gronder son fils, il l'aimait trop pour cela, mais il lança un regard glacial en direction du pauvre major d'homme.

Après la pluie vient forcément le beau temps. La petite colère intérieure qui avait touché St Daniel passa. Pour son fils, c'était quand même une bonne occasion d'entrer dans un monde qui lui était inconnu et par la suite, il lui donnerait deux trois leçons afin de pouvoir faire de bonnes affaires.

Les esclaves concubines du jeune St Michel étaient toutes très douce, très soumise, mais une seule avait gardé son côté rebelle, il s'agissait de la jeune femme qu'il avait acheté en dernier. Elle avait un tempérament explosif et c'est aussi cela qui la rendait aussi unique aux yeux du noble. Malgré son côté insoumis, il n'arrivait pas à s'en défaire, elle était jour et nuit dans sa tête. Son père lui conseilla de la battre où de la torturer afin de la rendre docile comme un mouton, mais il s'y refusait. Il ne voulait pas l'abimer.

Plus le temps passait et plus la jeune femme perdait de sa rage. Elle comprenait au fil du temps qu'elle n'avait aucune chance de sortir de cette maison. Elle avait perdu sa liberté le jour où elle avait été trahie par ses propres partenaires de combat.

La jeune femme se laissait aller, elle ne voulait plus manger, ni boire. Pour une combattante comme elle, la mort était un meilleur choix de vie que l'esclavage.

Voyant l'état de santé de sa favorite se dégrader, St Michel demanda à un esclave médecin de prendre soin d'elle. Si jamais elle devait mourir, il en payerai de sa vie. Après un mois de soin, le médecin stabilisa l'état de la jeune femme.

St Daniel qui entre deux obligations importantes, assista au petit manège de son fils afin de conquérir la jeune femme. Pour lui, il ne voyait qu'un simple caprice d'enfant. Il était inconcevable pour lui qu'un homme tel que son fils tombe éperdument amoureux d'un esclave. Ce n'était sans doute qu'un jeu, rien de plus.

St Michel était au petit soin pour la jeune femme et négligeait complètement ses autres concubine qu'il relégua au simple fait de domestique.

Ce qui ne devait jamais se passer arriva, la jeune femme finie par trouver en son maître, de bons côtés. Elle n'arrivait pas à se l'expliquer, mais il y avait quelques choses en lui qu'elle n'arrivait pas à expliquer. Le Noble passait de plus en plus de temps avec elle dans le domaine interdit aux domestiques quand son père n'était pas présent. Secrètement, il lui parlait d'amour, lui chantait des poèmes. Il était près à tous pour elle, malgré qu'il s'agisse d'un interdit.

Tous être humain à droit à une seconde chance et avec la jeune femme à ses côtés, St Michel commençait à changer peu à peu. Il avait de plus en plus d'estime pour la vie humaine. Sa vision de l'être humain changeait, il ne les voyait plus comme des bêtes de foires, mais bien comme des êtres comme lui, capable d'aimer, de raisonnement etc..

Au sein de la maison, la jeune concubine reçu un statut spécial, elle n'était plus une domestique, mais n'avait pas le droit non plus de quitter sa cambre, mais sa semi-liberté lui convenait, car elle pouvait voir son tendre assez souvent.

St Michel passait de moins en moins de temps à l'étude des pratiques et apprentissage du protocole céleste, qui devait le conduire à prendre un jour la tête de la famille comme patriarche et consacrait ce temps à sa femme. Cela rendait son père fou de rage, mais que pouvait-il faire, il s'agissait de son fils unique. Le seul à pouvoir prendre un jour sa relève.

Par une journée ensoleillée, la jeune femme expliqua à son homme, qu'elle ne tarderait pas à donner naissance à un bébé, son bébé. St Michel était heureux et sera la jeune femme dans ses bras. Mais quelques choses le tracassait tout de même.

Il savait que son père interdirait cette union. La conception d'un enfant de noble avec une esclave, il ne voudrait même pas en entendre parler et si jamais il l'apprenait, il ferait en sorte de tuer la jeune femme.

Afin de ne pas éveiller de soupçon, le couple conclu un marché, ils passeraient moins de temps ensemble et ne se verrais qu'en cachète. La solution était draconienne, mais c'était le seul moyen de cacher le plus gros scandale du siècle.

Voyant du jour au lendemain son fils s'impliquer de plus en plus dans ses devoirs de noble, le patriarche reprenait espoir. Son fils était enfin revenu à la raison.


Les mois passèrent et l'année allait bientôt se terminer. Il ne restait plus que deux mois avant le grand évènement et pour le moment, personne mise à part les deux parents étaient au courant de ce qui allait arriver.

St Michel ne pouvait plus garder le secret pour lui, il ne s'y connaissait pas en matière d'accouchement, tout cela était nouveau pour lui et il alla à la rencontre de son père pour lui demander de l'aide.

En écoutant le terrible secret de son fils, St Daniel tomba de haut. Jamais, au grand jamais il n'avait imaginé pareille catastrophe. Dans toute son illustre famille, personne n'avait jamais commit un tel sacrilège. Une seule solution possible, faire disparaître la jeune femme au plus vite, tel était les ordres du patriarche, mais son fils s'y opposait et menaça de s'ôter la vie si jamais il arrivait malheur à celle qu'il aimait.

Père et fils étaient en désaccord. L'un était contre cet enfant, l'autre prêt à tous pour le garder. L'âge pesait sur St Daniel, il n'était plus le même que dans sa jeunesse et ne pouvait pas renier son fils, seul être capable de prendre le contrôle de la famille. Fils unique, St Michel ne pouvait être banni de plus cela ne se fessait pas. Un Dragon céleste ne pouvait être mis à la porte.

St Daniel craqua, il accepta l'enfant, à la condition qu'il ne porte en aucune manière son nom. Il ne devra en aucune manière quitter le domicile familial, ni même se montrer. S'il venait au monde, il ne devrait en aucun cas quitter ses quartiers. De plus, St Michel allait devoir se plier à l'intégralité des devoirs familiaux ainsi que ses devoirs de Noble.

St Michel quitta aussitôt le domicile familial afin de rejoindre une délégation qui devait se rendre sur Grandline. Le but était une sorte de message de paix à l'encontre des peuples inférieurs.

L'organisation de ce voyage avait été programmée depuis longtemps et devait durer un mois. Ce voyage était si important pour lui qu'il ne pouvait le reporte où l'annuler et puis c'était aussi l'occasion de maître en pratique ses idéaux de paix et de respect des uns et des autres.

Le voyage se passa très bien pour le jeune noble, qui rassemblait des foules à chacun de ses déplacements. La venue d'un dragon céleste était une très bonne chose pour les royaumes receveur, qui voyait dans la venue du dragon céleste une sorte de reconnaissance bénéfique.

St Michel avait fait la promesse à sa femme, qu'il serait présent le jour J malgré son emploi du temps très chargé, mais une chose encore jamais arrivé se produisit.

La délégation ne retrouva jamais le chemin du retour. Jamais dans toute l'histoire une telle chose ne s'était produite.

Afin de retrouver le navire ainsi que le jeune Céleste, la marine et le gouvernement mondial tout entier déploya d'importante forces de recherche. Il fallait le retrouver au plus vite. Malgré la mise en place du plus grand dispositif de recherche, le navire restait introuvable.

Chapter III


L'éminent St Daniel se retrouva brusquement sans héritier. Plus personne ne pouvait prétendre prendre la tête de la famille après sa mort. Dans sa jeunesse, il n'avait eu qu'un seul enfant et dieu merci il s'agissait d'un garçon. Mais maintenant qu'il était trop vieux pour procrée, le destin lui repris son enfant.

La jeune femme quant à elle, échappa de peu à la mort quand la nouvelle de la disparition du père de son enfant arriva à ses oreilles.

Au début très hostile à la venue au monde du jeune bâtard, St Daniel garda l'enfant à la naissance. Il ne pouvait se résigner à le tuer où à l'abandonner hors des terres saintes, car il représentait la dernière chance pour lui d'avoir un héritier.

Ce jeune enfant ne porterai jamais son nom et ne serait jamais considéré comme un Dragon céleste de sang noble, mais il avait quand même l'image de son fils à chaque fois qu'il posait les yeux sur lui. Le fruit d'un terrible pêché.

St Daniel s'efforça de garder secret ce qui s'était passé, il valait mieux ne pas ébruiter cela. Mais un tel secret ne pouvait rester longtemps caché.

La fuite de l'information provoqua beaucoup de bruit et de désordre au sein de la communauté des Dragons célestes et de nombreuses familles tentaient de faire pression sur St Daniel afin de le convaincre de se débarrasser du problème.

Pour le moment, ils étaient seuls au courant de cette affaire gênante, mais si cela s'apprenait en dehors des territoires sacrés, qui pourrait deviner ce que ça pourrait engendrer. St Daniel gardait la tête haute et refusait catégoriquement d'attenter à la vie du bâtard.

Afin de protéger sa réputation ainsi que l'honneur de sa famille, il confina le jeune Hiruzen à jamais dans sa chambre. Il ne devait en aucun cas se montrer. Il avait interdiction de croiser son grand-père, interdiction de tenter d'une manière où d'une autre de communiquer avec lui et enfin l'interdiction d'essayer de quitter la maison. Il était prisonnier de sa propre famille.

Une personne qui ne connaissait pas l'histoire de la famille "Célestin" pourrait croire qu'il s'agissait d'une sorte de vengeance où d'un effet de haine qui retombait sur le jeune garçon, mais au plus profond du coeur du patriarche, il avait pris ces mesures dans le but de le protéger contre un monde où il n'avait pas sa place.

Hiruzen qui n'avait pas le droit de porter le nom de son père hérita de celui de sa mère. Un nom qui provenait de la terre des hommes. Un nom très illustre dans certaines histoires. Un grand nom pour un grand homme. Voilà ce que lui racontait souvent sa mère qui prenait soin de lui.

Le jeune homme qui grandissait à l'ombre tel un mécréant, nourrissait pour son grand-père une haine grandissante, mais sa mère tendait de lui faire comprendre qu'il n'avait pas le choix d'agir ainsi.

Née d'un amour interdit, Hiruzen représentait le changement. Mais dans une classe aussi fermé, puissante et importante que celle des Dragons célestes, il évoquait la possible chute de leur pouvoir longtemps garder fermement en main par des règles strictes.

Même s'il ne montrait aucun signe d'amour envers Hiruzen, sa mère lui expliquait qu'au fond de son coeur, son grand-père l'aimait. Dans chaque coeur sombre se trouve une once de lumière. Sa mère en avait la certitude, St Daniel avait derrière sa carapace un peu d'amour envers lui même s'il était impossible de le déceler.

Au cours de ses longues années, Hiruzen passait son temps à lire. Il aimait lire. Il pouvait lire des livres entiers sans se fatiguer. Il tenait cette passion de sa mère. Elle fessait tout le temps en sorte qu'il s'ouvre à la culture du monde des hommes.

Parmi ses activités favorites, Hiruzen aimait particulièrement la météorologie, la botanique et les arts du combat. Pour l'apprentissage des deux premières sciences, il avait la chance de posséder de nombreux ouvrages dans la bibliothèque de son grand-père. Quand celui-ci dormait, il s'y aventurait afin d'y emprunter deux où trois ouvrages. Quant à l'apprentissage des arts martiaux, il se rendait discrètement dans le quartier des esclave la nuit tombée et écoutait les histoires héroïques d'ancien combattant qui n'hésitaient pas à lui apprendre deux trois mouvements.

Hiruzen s'arrangeait toujours pour ce faire petit comme une souris, il ne voulait pas mettre en colère son grand-père qu'il considérait comme son pire ennemi sur terre.

Prisonnier de son petit monde, Hiruzen rêvait de vivre de grandes aventures. Voyager, rencontrer d'autres personnes, parcourir le monde. Couché sur son lit il aimait passer du temps à s'imaginer le monde extérieur.

Un jour, alors qu'il se trouvait avec un domestique, celui-ci lui demanda comment il était devenu un esclave. Après une courte histoire assez triste, Hiruzen lui promis qu'un jour il réussirait à changer sa condition.

L'esclave se mit à rire, car son jeune maître était condamné à une vie enfermer dans la maison sans aucune chance de voir le jour. Le jeune garçon lui demanda ce qui lui fessait bien rire. Les deux hommes s'expliquèrent et à la fin de leur discussion, Hiruzen se demanda pourquoi il ne bravait pas lui aussi les interdits.

Le jeune homme excité expliqua à son ami esclave, qu'il allait tenter de quitter en douce la maison. L'esclave effrayer tenta de convaincre son ami de ne pas quitter la maison, il ne voulait pas voir son jeune maître souffrir à cause des histoires qu'il lui a racontées.

Si jamais il n'arrivait pas à le convaincre de rester, le maître de maison le punirait de mort. Devant l'état de panique du serveur, le jeune garçon lui fit croire qu'il n'allait rien faire. Qu'il avait dit cela exprès dans le but de lui faire peur, rien de plus. Une bonne blague quoi.

Le lendemain, en milieu d'après-midi, le jeune esclave n'arrivait pas à trouver son jeune maître. En temps normal, ce dernier venait directement à lui passer une certaine heure, mais étrangement aujourd'hui, celui-ci était absent.

L'esclave le chercha dans ses quartiers, puis alla à la rencontre de sa mère afin de savoir où diable il avait pu passer, mais en vain.

D'un coup, le jeune garçon ce souvenu de la dernière conversation qu'il avait eu avec celui-ci. Jetant la serviette qu'il avait au-dessus de l'épaule, le jeune homme se mit à courir de toutes ses forces à travers l'immense propriété.

Jamais il n'aurait pensé qu'une simple histoire aurait pu déclencher chez le jeune maître une telle réaction.

Le garçon entra sans même prendre le temps de frapper dans la salle de repos de son maître afin d'y trouver St Daniel. Il était le seul capable de prendre des décisions dans la maison.

Malheureusement pour lui, il n'était pas dans la pièce, alors le jeune homme se précipita dans l'aile ouest de la maison et de nouveau il entra sans frapper. Cette fois-ci St Daniel s'y trouvait et sans même prendre le temps d'observer la pièce et ses éventuels habitants, le jeune homme se mit à parler. Il cracha le morceau sans attendre.

Quand il lui était impossible de faire marche arrière, il remarqua la présence d'un invité qui se trouvait à plusieurs pas de sa position.

St Daniel avait reçu un inviter de marque. Il s'agissait d'un noble tout comme lui qui lui parlait justement du problème que posait Hiruzen dans leur système de classe.

L'esclave venait de faire une bourde et ce n'était pas tombé dans l'oreille d'un sourd. St Daniel lui ne bougeait pas d'un pouce.

Toujours avec la même rigidité, il appuya sur un bouton qui appela deux soldats en armure. Pour l'avoir dérangé dans une réunion importante, l'esclave devait être puni sur le champs.

Voilà qui arrangeait les choses. Si l'indésirable venait de quitter lui-même la terre sacrée, plus rien ne les empêchaient de le faire disparaitre à jamais. Dur comme un roc, St Daniel ne montrait aucun sentiment, mais au fond de lui, cette nouvelle était une véritable onde de choc. S'il restait les bras croisés, alors son petit-fils n'aurait aucune chance de revenir un jour.

Pour le second Dragons Célestes, si son bâtard disparaissait, alors leur problème serait à jamais régler. St Lucius, proposa à son homologue, un plan d'action afin de se débarrasser définitivement de la vermine. St Daniel accepta. Il ne voulait pas ternir son image encore plus et de toute manière, il avait les mains complètement liées. S'il s'opposait à cette mesure, il risquerait gros.

St Lucius quitta la maison afin un sourire qu'il avait du mal à cacher. Il venait de résoudre une affaire délicate, il avait bien de quoi afficher un sourire béant.

Le plan qui allait se mettre en place allait faciliter la fuite de la souris. Il n'allait rencontrer aucune résistance pour quitter la terre sainte d'habitude véritable forteresse impénétrable.

Malgré l'avance qu'il avait, une personne qui ne connaissait pas la terre sacrée avait vite fait de se perdre où de tomber sur une patrouille du gouvernement mondial qui s'assurait que tout ce passait pour le mieux en terre bénite. Mais une fois en dehors de leur territoire, le véritable pièce allait s'abattre sur lui ne lui laissant aucune chance de survivre.

Pour un enfant qui n'avait jamais quitté sa maison et qui ne connaissait théoriquement rien à l'art du combat, un groupe de truand était largement suffisent pour se débarrasser de lui.

Une bourse suffit à ameuter un groupe de six hommes. Armé de sabre, ils étaient chargés de capturer le jeune homme et de le faire disparaître, là où personne n'irait jamais retrouver son corps. Une tâche facile qui ne demandait pas beaucoup d'effort.

St Daniel avait lui-même financer le groupe de truand. Le problème venait de sa famille, alors il lui incombait à lui de s'en débarrasser.

Secrètement, il paya par l'intermédiaire d'un de ses esclave, deux mercenaires qui avaient pour habitude de travailler dans l'ombre afin tuer et de faire disparaitre les truands qu'il avait engagés. St Daniel ne pouvait rien faire d'autre mise à part croire en la chance. Les deux mercenaires devaient impérativement intercepter les bandits avant qu'ils ne mettent la main sur son petit-fils. Ce n'était pas grand-chose, mais il s'agissait du premier cadeau qu'il lui offrait.

Maintenant, qu'il avait quitté sa cage de cristal, Hiruzen se préparait à vivre le plus grand défi de son existence.





Dernière édition par Hiruzen Nobunaga le Sam 3 Sep - 14:06, édité 1 fois
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Hiruzen Nobunaga
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MessageSujet: Re: Hiruzen Nobunaga   Hiruzen Nobunaga EmptySam 3 Sep - 14:06

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MessageSujet: Re: Hiruzen Nobunaga   Hiruzen Nobunaga EmptyDim 29 Jan - 14:22

Bon, re-bienvenue et je te revalide !

Tout d'abord, tu n'es techniquement qu'un demi-dragon céleste, donc ta race est juste humaine vu que tu n'as ni les droits ni les privilèges qui vont avec.
Ensuite, pour ton vava, comme il te l'a été dit, tu devras en changer parce qu'il est déjà pris.
De plus, tu ne parles pas de comment ton personnage est devenu chasseur de prime, ce qui n'empêche en aucun cas la vente d'esclave (illogique face à l'histoire), et on ne sait pas grand chose de sa personnalité, il n'y a qu'un chapitre concrètement dédié à ton personnage.
Ensuite, au niveau de la mise en page, c'est assez chiant, désolée du terme, à lire du fait que tu sautes une ligne toutes les deux/trois phrases, ce qui n'aide pas du tout pour la lecture. Quelques fautes traînent aussi, ce qui pourrait être corrigé.
Bref, tu m'arranges le gros des détails et on pourra te valider ! Enjoy !
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Prout
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MessageSujet: Re: Hiruzen Nobunaga   Hiruzen Nobunaga EmptySam 4 Fév - 1:09

    Je crois que ça fait un petit moment depuis le temps. Du nouveau? Archivage dans 5 jours si aucune réponse.


Edit Troy : Heureusement qu'on s'emmerde à faire un barême pour l'archivage hein. Je vois qu'au moins un d'entre nous s'en fout.
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MessageSujet: Re: Hiruzen Nobunaga   Hiruzen Nobunaga EmptyMar 14 Fév - 2:18

Archivée. Si on doit la remonter, Mp !
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MessageSujet: Re: Hiruzen Nobunaga   Hiruzen Nobunaga Empty

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