OnePiece Yozoru Kairo
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 [Fat Way 1.0] La gourmandise tue plus de gens que l’épée {Icarus & Goss

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Kim
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• I'm Kim

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MessageSujet: [Fat Way 1.0] La gourmandise tue plus de gens que l’épée {Icarus & Goss   [Fat Way 1.0] La gourmandise tue plus de gens que l’épée {Icarus & Goss EmptyDim 26 Fév - 23:53

« Les bonbons gâtent tout, même l’enfance. »

[Fat Way 1.0] La gourmandise tue plus de gens que l’épée {Icarus & Goss Prussi10 [Fat Way 1.0] La gourmandise tue plus de gens que l’épée {Icarus & Goss 18019235 [Fat Way 1.0] La gourmandise tue plus de gens que l’épée {Icarus & Goss 333919
    -Mais pourquoiiiii ? Résonna la voix d’une jeune femme à la longue chevelure blanche dans un magasin d’alimentation de la ville de Candy Island.
    -On ne fait pas crédit, mademoiselle. Se contenta de répondre le caissier avec un air strict.
    -Pfff ! Et gardez la vôtre broutille ! Avec un peu de chance vous arriverez à séduire une femme avec ! Espèce d’homme bouboule ! Pesta-t-elle en se dirigeant, tête haute, vers la porte.

Elle traversa le magasin, furieuse. Au passage elle envoya sur le sol quelques articles en rayon et sortie dans une démarche tout aussi hautaine. Faye était une gamine de vingt ans qui refusait qu’on lui dise non. Susceptible et particulièrement orgueilleuse elle faisait le malheur des commerçants avec ses mains habiles. Par exemple : en envoyant valser quelques produits, elle avait pris soin d’en chiper un, ni vu ni connu. Une faible vengeance pour cet affront de taille. Ce commerçant lui avait dit non. Elle avait pourtant mis tous ses atouts en avant en ayant pris soin de déboutonner son chemisier pour lui offrir un beau décolté plus que désirable, en ayant aussi lâché ses beaux cheveux blancs aux reflets d’argents, et en prenant une moue de jeune fille en fleur. Et cet abruti fini, complètement insensible à ses charmes, avait refusé de lui offrir un petit quelque chose. Elle avait de l’argent, oui. Mais pas assez.
    -Cet abruti refuse de fermer les yeux sur l’argent qu’il me manque !

Il fallait qu’elle arrête de donner les deux tiers de sa part à son Icarus-adoré. Voilà où ça la menait. D’ailleurs en parlant de lui…

Étonnée, elle tourna la tête à gauche, puis à droite. Elle aurait du avoir une réponse, que ce soit un « bien fait pour toi » ou un « allons lui rappeler qui nous sommes », bien que ce soit la première fois qu’ils mettent les pieds ici, mais dans tous les cas, ce fut le silence qui répondit à la place d’Icarus. Allons bon, il était passé où celui-là encore ?!


La journée avait pourtant si bien commencée : Un ciel bleu, une mer relativement calme. Elle s’était réveillée quand ils venaient de jeter l’ancre, et mieux que tout : Dark n’était pas là ! Enfin, si, plus ou moins. Elle avait juste eu le temps de le voir partir de son côté. En somme elle l’avait vu et il ne l’avait pas rembarré. C’était vraiment le mieux que l’on pouvait espérer quand on avait vingt ans et que l’on était une jeune femme à fleur de peau avec la mentalité d’une gamine. Faye avait depuis peu, un tempérament de flammes dans un corps sulfureux, voilà ce qu’était la blanche incendiaire. Une peste, une garce, une enflure. Mais c’était ce qu’elle était. Et elle prenait plaisir à donner vie à ce rôle, cette partie d’une personnalité que tant de gens cherchaient à effacer, elle, elle cherchait plutôt à la montrer. Bien entendu, elle jouait les petites filles innocentes, faisait les yeux doux à son gentil « papa adoptif » quand celui-ci lui demandait des explications, et partait en riant avant de se faire engueuler. Comme un jeu.

D’ailleurs, Faye ne prenait jamais rien au sérieux. Cela allait des rares engueulades, à ses relations sociales. D’ailleurs en parlant de ça… Elle n’avait pas vraiment d’amis. Des relations par-ci par-là, mais pas d’amis. Des ennemis par contre, elle avait un don pour ce qu’il s’agissait de s’en faire. Peste dans l’âme, elle passait son temps à se demander comment elle pouvait ruiner la vie des gens, comme si se faire détester était en fait ce qui l’animait le plus. C’était totalement bancal comme façon de penser, ou alors il fallait être totalement dérangé. Le fait est que la révolutionnaire qui suivait Icarus depuis que leur route respective s’était entremêlée avait un penchant très prononcée pour ce qui était de s’attirer des ennuis. Un critère admission pour faire partie de « l’équipage » des révolutionnaires qu’ils étaient. Et encore, le mot équipage était un peu fort pour les qualifier tous les trois. Des compagnons de voyage, c’était ce qui pouvait le mieux les décrire.

La relation entre elle et les protagonistes avec qui elle passait ses journées était on ne peut plus… Paradoxal. L’une était volcanique, et l’autre avait pour mérite d’être attendrissante. Faye et Dark c’était comme le ciel et la terre. L’un et l’autre ne devait pas se rencontrer sous peine d’apocalypse. A contrario, Icarus et Faye avaient une relation plus simple et aimante, la jeune femme voyant une figure paternelle dans le grand homme qui l’avait recueilli. Elle voyait aussi en lui un protecteur et plus encore. Elle savait qu’avec lui elle serait protégé, quel que soit la manière. Elle avait tellement confiance en lui, qu’elle prenait des risques, quitte à mettre sa propre vie en danger. Quitte à frôler la mort. Elle s’imaginait qu’Icarus allait bondir d’on ne sait où et la sortirait de ce mauvais pas. Ce qui jusqu’à présent était vrai. Il avait toujours débarqué au moment fatidique et l’avait sauvée à bien des reprises. La cause principale était son tempérament de feu, et son envie de semer la discorde partout où elle allait.

Comme ici par exemple. Elle avait l’air fine, ainsi planter devant cette bijouterie, à regarder à droite à gauche avec un air rageur sur le visage, lançant des regards enflammés à quiconque rencontrait ses iris de braise. Magnifique. Vraiment magnifique. Elle tapait du pied d’impatience, comment avait-il pu lui faire un coup pareil ?! A elle ! L’abandonner en pleine rue, dans une ville qu’elle ne connaissait pas, sur une île inconnue, remplie de… Sucrerie… Elle en avait l’eau à la bouche, et il était partie avec l’argent on ne sait où. Non mais franchement ! Elle foudroya du regard un passant qui la regardait d’un peu trop près et partie, d’un élan rageur, vers la direction opposée, bien décidé à trouver son mentor avant la tombée de la nuit. Et à lui faire comprendre qu’on ne pouvait pas l’abandonner sans prévenir, bien entendu.

La jolie albinos avait un gros problème avec la solitude, encore plus quand cela concernait l’abandon, son passé de petite fille des rues lui avait donné une grande blessure. Celle qu’on ne voit que dans ses yeux. Des yeux ternes, un manque cruel d’humanité caché derrière une flamme d’envie de vivre. Une flamme ranimée par un être doté d’une bonté sans pareille. Elle savait qu’Icarus ne pouvait l’abandonner. Mais elle avait toujours cette peur qu’un jour en arrivant au port après avoir fait les courses, son tour habituel qu’elle faisait quand ils accostaient dans une ville, il soit finalement revenu sur sa décision, qu’il ait finalement choisi d’écouter Dark, et de la laisser là, livrée à elle-même. Elle était rien sans lui, sans eux. Même Dark avait une importance dans vie. Elle ne pouvait plus se passer d’eux

A son sens elle devait avoir traversé la ville. En réalité elle était rendue au centre de celle-ci. Mais Faye aimait jouer dans le dramatique en exagérant les choses. Elle se trouvait sur la place centrale, bordée de bar en tout genre et de boutiques toutes aussi alléchantes les unes que les autres. Et comme partout, des tentations sucrées ici et là. La jeune femme aux cheveux blancs savait bien que si elle voulait trouver Icarus, il fallait qu’elle cherche un bar. Chose faite, maintenant il fallait juste attendre que son coté ravageur fasse des siennes. C’était dans le code génétique de l’inventeur de semer le trouble. Comme quoi.

Elle se posa donc patiemment sur le bord d’une fontaine et attendit, regardant distraitement son reflet dans l’eau cristalline.

Et elle n’eut pas longtemps à attendre. Deux minutes s’étaient gentiment écoulées, qu’elle entendit des hommes crier dans un bar à l’enseigne douteuse. Bien évidemment, elle aurait pu le deviner toute seule. Ni une ni deux, elle s’élança vers la devanture aux lettres capitales rougeâtres, dont l’une s’était décrochée… Mieux valait en ignorer la raison.

L’endroit était sombre, mal éclairé, peu ouvert, il sentait l’alcool et la transpiration. L’ivrogne, en un mot. C’est donc en posant s main gantée sur son joli petit nez qu’elle tenta de se frayer un chemin dans ce terrier d’homme pas franchement très net et fréquentable jouant des coudes pour arriver au centre de l’animation. Icarus. Bien entendu. Elle croisa les brs sous sa poitrine visiblement en colère, alors que le Icarus venait s’échouer à ses pieds, frapper par un homme un peu plus grand que lui. Nullement étonné de la scène, elle lui adressa un regard courroucé.
    -Non mais je rêve ! Tu m’abandonne alors que j’ai besoin de toi, et je te retrouve à jouer les boxeur dans un endroit aussi… Immonde ? Asséna-t-elle après avoir regarder les lieux d’un œil critique et supérieur comme elle savait si bien le faire. Et en train de te battre en plus, pour changer ! T’abuse, sérieusement.

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